lundi 21 mai 2012

Je ne sais pas 25


25

Des chemins, des lignes droites dans l’entremêlement des carrefours, en être là, dans l’avalement, la déglutition, dans la limite du sens des mots, au milieu des sentiments abstraits, ne plus rien savoir, s’enfermer pour ne plus entendre et voir, l’érosion, l’usure d’un homme à la porte des mélancolies, dans la volonté de s’asseoir et de continuer à parler envers et contre lui, il regarde ses mains de chair, vulnérable, emprunt de sentiments inextricables, dans le doute de ce que nous sommes les uns pour les autres.

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