Il a des jours hallucinés habités par des êtres refusant l'intolérable.
mercredi 30 novembre 2011
vendredi 25 novembre 2011
mercredi 23 novembre 2011
jeudi 17 novembre 2011
mercredi 16 novembre 2011
mardi 15 novembre 2011
dimanche 13 novembre 2011
Masse
Inscrit dans ce corps comme dans la pierre, des caractères illisibles, une vie à décrypter, s'alléger de ce qui apparaît, enfoui sous terre, dans les strates, excaver le squelette de la masse défendante, pour enfin pousser le cri qui nous rapproche du premier, celui-là poussé après l'apnée, je suis dans l'eau, un bloc de granit que je tente de sculpter, mais, mes mains sont douloureuses parfois.
mercredi 9 novembre 2011
Sur le fil...
Un fil. Une veste rouge. Un jeune homme bien coiffé. La vie des autres. Dans les vitrines les prix s'affichent. Penché. Tout signifie au bord du gouffre. Un rayon de soleil sur le visage. La lumière d'une femme vêtue de noir. Les oiseaux passent, juste là.
lundi 7 novembre 2011
Flickr
Désormais vous pouvez retrouver les photos de mon travail sur Flickr, une galerie virtuelle. Sans savoir pourquoi réellement je le fais et si tout ça est bien nécessaire, peut-être que oui.... ce qui me pousse c'est l'espoir de vous rencontrer un peu plus encore, voici le lien.
http://www.flickr.com/photos/thierryrobrechts/
dimanche 6 novembre 2011
vendredi 4 novembre 2011
Depuis le premier jour j'entends que l'on me prénomme, une identité abstraite de celui qui la porte, une habitude peut-être, une habitude comme bien d'autres choses, jusqu'au bout je me retournerai en sachant que l'on m'appelle, je pense souvent à nous, lui sans moi et moi sans lui, je m'en invente un autre parfois, toujours le même, la projection peut-être sans la charge des années de celui-là, l'enfant vers lequel je dirige mes pas.
mercredi 2 novembre 2011
Sur les rives du fleuve, au bord, dans le contre-sens du sens, accepter ce que j'avais dit que je refuserais, inerte dans le mouvement qui me conduit au sol, désemparé par l'échec de me tenir debout, endormi ou plutôt endolori par les coups de butoir, dans l'intranquilité d'un acouphène, ce sifflement qui m'interdit d'oublier, oublier, il m'est impossible d'oublier.
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